L'art espagnol -  Véronique Gérard-Powell - Éditions Flammarion - 1996
  • L'art espagnol -  Véronique Gérard-Powell - Éditions Flammarion - 1996
  • L'art espagnol -  Véronique Gérard-Powell - Éditions Flammarion - 1996
  • L'art espagnol -  Véronique Gérard-Powell - Éditions Flammarion - 1996

L'art espagnol - Véronique Gérard-Powell - Éditions Flammarion - 1996

Descriptif du livre

Exemplaire en bon état - couverture et intérieur propres - envoi rapide et très soigné en lettre suivie - ouvrage totalement épuisé chez l'éditeur - ref n° 161018

2025-04-24 20:53:23
15,00 € TTC

(hors frais de livraison)

 

Les commandes sont expédiées sous 24h à réception du règlement (pas d'expédition le samedi)

Résumé du livre

Alors même que l'Espagne joue un rôle de plus en plus important dans l'Union européenne, sa culture reste trop souvent inconnue et réduite à quelques poncifs. Ce parcours dans l'art espagnol, des grottes d'Altamira à Antoni Tàpies, a été confié à une équipe d'universitaires et de conservateurs de musées, français ou espagnols, spécialistes reconnus des domaines abordés. Il veut souligner combien, avec ses spécificités propres, l'art espagnol est creuset d'éclectisme et générateur de créateurs puissants qui, comme Goya ou Picasso, dépassent leur cadre historique pour forger l'avenir.
Loin d'être repliée sur elle-même, l'Espagne fut toujours une terre d'échanges et sa création artistique reflète ses contacts avec les mondes méditerranéens de l'Antiquité - Phéniciens, Grecs, Romains - puis avec les Arabes des royaumes d Afrique du Nord. Plus tard, les possessions flamandes et italiennes des Habsbourg d'Espagne contribuèrent à forger un art qui s'exporta jusque dans l'empire d'Amérique. Il y a juste un siècle, la Catalogne jouait un rôle capital dans l'élaboration d'un Art Nouveau...
L'art espagnol est une découverte récente. Il fallut attendre que le Grand Tour s'étende, au XIXe siècle, à l'Afrique du Nord pour que, sur le chemin du retour, ses adeptes croisent les villes et les paysages d'Espagne. Le romantisme découvrit les œuvres de Velazquez et Zurbaran que les difficiles circonstances historiques jetaient sur le marché européen. De Goya, on ne connut longtemps que les portraits royaux... Il fallut encore plus de temps pour savoir qu'à côté de Tarragone, de Mérida ou des palais de l'Alhambra, les hommes de la Préhistoire avaient gravé la pierre et l'os, que les Ibères avaient sculpté le sphinx, le taureau ou la Dame à Elche. Cet ouvrage réserve une grande place aux découvertes les plus récentes qui ont considérablement enrichi le patrimoine espagnol et renouvelé la vision que le public cultivé doit en avoir.